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DEATH METAL  |  STUDIO

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NILE - Amongst The Catacombs Of Nephren-ka (1998)
Par REMISSA le 27 Septembre 2024          Consultée 501 fois

Par où commencer, si ce n’est par le début. NILE, à l’instar des pyramides et du folklore idéalisé de l’Ancienne Egypte, fait partie du paysage Metal. De l’aficionado de Brutal Death Tech (moi) au wannabe qui campe les Main Stages des festoches (pas moi), le nom évocateur et sec comme un coup de trique de "NILE" parle au metalleux de tous environs, c’est un fait. Et tout comme la thématique qu’ils abordent en long en large et en travers, le trio à l’origine, devenu quartet puis quintet très récemment, fascine par son approche très brute de fonderie, et surtout par son atmosphère dérangeante et glauque, bien loin des fantasmes à la "Alexandrie, Alexandra", si vous voyez ce que je veux dire.

Cadencé par une rythmique abrutissante dès la première seconde, des soli totalement impromptus qui semblent de prime abord sans queue ni tête, des riffs absolument monstrueux ("Barra Edinazzu", "Opening The Mouth"), et des interludes de chants ritualistes tribaux en langue sumérienne également employée par Sanders dans des paroles aussi brutes qu’efficaces, "Nephren-Ka", si l’on peut le pseudonymiser ainsi, impressionne par ses qualités pour un debut album. D’autant, doit-on le rappeler, qu’il n’y a que trois gusses derrière cette pulsion de violence pure.

Aussi jouissive qu’elle est intimidante et fignolée jusqu’aux moindres recoins poussiéreux et troglodytes de la crypte royale qui l’a vu naître, cette galette en l’honneur du Pharaon Noir est un obélisque jeté dans la mare du Brutal Death Tech, et surtout un label de qualité, qu’il va falloir entretenir au cours du temps pour ne pas être qu’un coup de génie isolé. Enfin, vous le savez aussi bien que moi, la dynastie NILienne est longue… et toujours ininterrompue.

Note réelle : 4,5/5.

Morceaux préférés : "Barra Edinazzu", "The Howling Of The Jinn", "Ramses Bringer Of War", et bien d’autres… Même les interludes comme "Kudurru Maqlu" ou "Die Rache Krieg Lied Der Assyriche" sont absolument brillants. Preuve en est, j’ai changé quatre fois le podium, et je n’en suis toujours pas sûr et certain !

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Par JULIEN




 
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   (3 chroniques)



- Karl Sanders (guitare, chant)
- Chief Spires (basse, chant)
- Pete Hammoura (batterie, chant)


1. Smashing The Antiu
2. Barra Edinazzu
3. Kudurru Maklu
4. Serpent Headed Mask
5. Ramses Bringer Of War
6. Stones Of Sorrow
7. Die Rache Krieg Lied Der Assyriche
8. The Howling Of The Jinn
9. Pestilence And Iniquity
10. Opening Of The Mouth
11. Beneath Eternal Oceans Of Sand



             



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