Salut à toi,

On essaie d'avoir toujours au moins une chronique par jour. Pour être sûr qu'il n'y ait pas de jours sans publications, voire de périodes complètes sans publications, il faut modérer nécessairement le rythme de publication.

Si on publie 7 nouveautés dans la semaine, il faut que l'on soit sûr que la production globale de l'équipe sera également 7 nouveautés au moins dans la réserve, et ça ce n'est pas dit. Du coup, on se laisse toujours des chroniques sous le coude, quitte à ralentir progressivement et accélérer progressivement le rythme de publication. Là par exemple, on sait que pendant la période de noël, il y aura peu de chroniques qui vont être écrites. Mais il ne faut pas que ce soit directement visible sur le site, donc on ralentira sans doute un peu le rythme avant pour être sûr que le site continue son activité pendant qu'on se gave de saumon.

C'est aussi l'interface du site qui veut cela aussi. Tous les jours où l'on balançait deux chroniques par jour (en 2005 - 2006 ça arrivait), la seconde chronique, qui se retrouve naturellement en dessous de l'autre, était largement moins lue. On ne donnait donc pas équitablement sa chance à la chronique en question.

Alors bien sûr, le jour où de nouveau l'équipe pond 10 nouveautés par semaine, on aura des jours avec deux publis par jours et on se dira tant pis pour les quelques consultations en plus ou en moins.
Mais à l'heure actuelle, bah on ne peut jamais vraiment s'assurer que la "relève" d'une semaine sur l'autre soit assurée, on a donc toujours en moyenne deux semaines entre le temps d'écriture de la chronique et le temps de parution.

Ce qui nous permet aussi de réviser nos papiers si c'est nécessaire.

Salut Jacky,

Je me suis souvent posé la question aussi, en tant que lecteur et ensuite, chroniqueur.

J'en suis venu à la conclusion que NIME est divisé en deux groupes, autant du côté des lecteurs que des auteurs : ceux qui attendent impatiemment les nouveautés et ceux qui ne sont pas pressés et se concentrent à grossir les archives de notre banque de données. C'est ce qui rend le site complet à mon sens.

Si nous étions tous avides de nouveautés comme moi ou Kanji, par exemple, cela créerait peut-être d'autres problèmes en interne et les archives en prendraient pour leur rhume.

Actuellement dans la réserve, il y a plus de nouveautés que d'archives en attente de parution. À ce sujet, si on publiait plusieurs chroniques par jour pour contenter une partie du lectorat (alors qu'une autre frange passe ici une ou deux fois par semaine faire du rattrapage), notre réserve fondrait rapidement et ce serait pire côté rythme de parution.

Il n'y a jamais rien de parfait, mais on essaie le plus possible de coller à l'actualité. La frustration de certains lecteurs à ce niveau provient parfois du fait que le dernier disque de le groupe favori n'a pas été chroniqué la semaine suivant la sortie. Peut-être pas, mais d'autres lecteurs seront heureux de lire la chronique du dernier album de leur groupe favori, parue avant même la sortie ou le jour même de la sortie. Tout est relatif.

En ce sens, il est normal de continuer comme nous "avons toujours fait", car c'est la meilleure manière que nous avons trouvée pour équilibrer les chances.

Merci de nous lire,

\M/

Salut à toi, lecteur passionné.

Déjà autant dire que je t'encourage à envoyer une candidature !

Ensuite, pour OPETH, je pense que la chronique viendra, peut-être avec un peu de temps, comme pour "Pale Communion". Pour le moment c'est LYRR qui est dessus mais rien n'est immuable. Il faut dire que pour ma part, je le trouve assez décevant, j'aurais préféré que OPETH revienne sur quelque chose qui se rapproche plus de "Watershed", et je sais pertinemment que si la nostalgie de l'ancien OPETH fait le terreau de ma chronique, c'est ce qui me sera reproché, et ce à raison, par les lecteurs. Je préfère donc faire un pas de côté et laisser place à d'autres, même si, si LYRR se trouve désemparé et sans inspiration, je donnerai mon point de vue, qui restera malheureusement celui de quelqu'un qui trouve le virage prog d'OPETH beaucoup trop lisse - et "Sorceress" ne me convainc pas du contraire.

En général, les recrutements se font au terme d’une campagne que nous lançons quand le besoin s’en fait sentir.
Pour autant, les candidatures spontanées sont toujours étudiées. De "grandes" plumes nous ont rejoints de cette manière. Julien, par exemple.
Donc, si ta question n'est pas innocente et que tu souhaites en effet faire valoir tes aptitudes à nous rejoindre, je te conseille de poster une chronique test qui réponde aux standards de NIME (je pense à la longueur ou à la syntaxe soignée) directement sur le guestbook, sans oublier de mentionner quelques informations te concernant comme ton âge, tes disponibilités, tes genres de prédilection et, surtout, ton adresse email.

Pour OPETH, aussi étonnant que celui puisse paraitre, aucun membre de l’équipe n’a encore émis le souhait de s’en occuper. Mais je viens de soumettre l’idée en interne, j’espère que l’album "Sorceress" trouvera vite preneur. Évidemment, le temps que quelqu’un décide de s’y atteler, rédige son texte et que celui-ci attende sagement que la pile des chroniques en réserve se vide, tu vas devoir prendre ton mal en patience.

Une nouvelle version de NIME, avec un designer de talent, est réellement en cours mais peine à s’enclencher en raison de disponibilités éparses.
J’espère voir aboutir ce projet rapidement mais préfère taire tout planning tant il est difficile à tenir quand la plupart des cadres de l’équipe étaient de beaux jeunes hommes plein d’entrain à leur arrivée sur NIME et sont désormais de bons pères de famille, pour la plupart, occupés et fatigués.
Mais tu noteras que le site est toujours vivant, avec une équipe sans cesse renouvelée ou renforcée. Rien que ça nécessite un travail de fond incessant et témoigne de notre attachement jamais démenti pour Nightfall et ses lecteurs.
Les journées sans publication, c’est une constante de NIME depuis sa création. la rareté de ces journées, aussi.
Tu peux me croire, il y a entre cinq et quinze personnes qui, chaque jour, rédigent, discutent, partagent leurs points de vue, se conseillent, corrigent ou valident, du lundi au dimanche, cela depuis seize longues et belles années. Les têtes ont un peu changé, depuis, mais la volonté d'informer et de partager, elle, jamais.

Je ne sais pas si c'est une bonne nouvelle étant donné que le dernier RHAPSODY OF FIRE était particulièrement bon. Je partage d'ailleurs l'avis de Jeff sur sa chronique.

La suite ?

Le nouveau projet de Leone, il y partage le chant avec Giorgia Colleluori. Pas de quoi fouetter un chat sur ce que je viens d'écouter.

Salut Hellsoldier,

J’ai pris connaissance de ta question dès sa publication mais n’y réponds que maintenant car, à vrai dire, c'est toi qui m'a appris cette nouvelle et je ne m'étais donc pas encore posé la question de savoir ce que je pouvais en penser.

Avant de te répondre, j’ai toujours trouvé amusant de lire Fabio Lione orthographié Leone suite à une vanne d’un magazine papier, à l’époque, qui faisait le rapprochement entre l’émergence improbable de RHAPSODY (l’Italie et le Metal faisaient deux aux yeux de tous) et celle du western-spaghetti auquel Sergio Leone a donné ses lettres de noblesse (le western et l’Italie faisaient deux, à l’époque aussi, et l’expression, sarcastique, vient d’une Amérique goguenarde).
Bref, depuis, il en est toujours pour penser sérieusement que c’est Leone et non Lione. Même notre ami Fredouille.

Depuis que les deux membres fondateurs de RHAPSODY ont décidé de couper le groupe en deux autres entités du même nom ou presque, le lien entre RHAPSODY (sans rien derrière ni devant) et RHAPSODY OF FIRE ou LT’S RHAPSODY est plutôt ténu. Pour le premier, c’est la voix de Fabio qui entretenait l’illusion d’avoir affaire au même style découvert sur SOEL ou "Legendary Tales". Pire, l’illusion a ceci de néfaste qu’elle nous pousse sans cesse à rechercher dans chaque production ce que l’on a aimé avant et la déception n’en est que plus grande à mesure que le deuil des travaux passés est frappé au sceau de l’évidence.

Pour ma part, tant pis si je te semble prétentieux, ce deuil est derrière moi (depuis l’excellent SOEL 2, justement parce qu’il n’était pas aussi proche de SOEL que son titre avait voulu nous le faire croire, ce qui a facilité ma prise de conscience). Et je m’efforce depuis lors de ne pas écouter un nouveau RHAPSODY comme un potentiel retour en arrière mais comme un nouvel apport de la part de compositeurs extraordinairement talentueux (bon, pour le moment, avantage Luca).

Luca Turilli a survécu à la perte de Fabio en dégotant un nouveau chanteur différent mais excellent. Je suppose qu’Alex en fera de même.
A la limite, j’espère qu’il en profitera pour entretenir la dynamique insufflée au groupe puisque je considère son travail sur les deux dernières sorties remarquable de la part d’un homme qui avait toujours vécu dans l’ombre de son compère. Et je fonde aussi de grands espoirs en Manuel, son frère, pour renforcer l’aspect baroque des compositions futures.

Voila. Le RHAPSODY d’antan n’est plus et cela fait finalement longtemps. Le départ de Fabio l’entérine un peu plus. Mais le simple fait que Luca et Alex continuent de sortir des albums, quel que soit le nom derrière lequel ils les mettent, ou le fait que Fabio continue de chanter, me comblent déjà amplement.
Du reste, la nouvelle formation de Fabio m’intéresse fortement.
Le Heavy Metal né du revival de la fin des années 90 est toujours vivant, presque vingt ans après. Cette résistance inespérée (combien de fois les oiseaux de mauvais augure ont-ils promis sa mort ?) a modifié mon regard sur certains aspects. Je reste avide de découvertes de qualité mais ne me formalise plus sur les changements de line-up. Si je veux du RHAPSODY avec Fabio, SOEL n’est jamais bien loin de moi !

Hell'O !

Je gère la mise en ligne de ces demandes. Elles reposent sur une sélection en amont de notre part : la demande doit concerner un album de plus de 6 mois (sinon je la garde au chaud et la publie en temps et en heure), elle doit concerner une chronique absente du site (!! je le précise car je dois supprimer beaucoup de demandes de chroniques existantes !) mais surtout ne pas être déjà prise en charge aka RÉSERVÉE par l'un d'entre nous en amont dans notre processus de réservation.
Si c'est le cas, la demande n'est pas publiée. Donc LARSEN, je suppose que si tu ne vois pas ta demande en ligne, c'est qu'elle aboutira sans doute un jour car l'un d'entre nous s'y est proposé !

Metalliquement.

FENRYL.

Hell'o

Étrange ... Je ne me souviens pas d'avoir un jour posté des trucs inécoutables !!
Décidément, la vieillesse guette ...

A bientôt.
W.

Salut et merci pour ta fidélité.
Tu as entièrement raison, l'impossibilité de consulter les archives est une lacune préjudiciable.
Chaque titre du jour est bien archivé dans nos bases.
Je travaille dessus pour rendre consultable tous les titres du jour déjà publiés.

Hell'o

Ça fait toujours très plaisir de savoir que nos bafouilles permettent parfois d’apporter un peu de nouveautés dans vos playlists.
Merci pour ton retour Didier, super !!

A bientôt
W.

Hello,
Merci pour ta proposition.
Le site n'ayant pas de statut particulier, nous ne sommes pas, à ma connaissance, éligibles à ce type de don.
Pour nous soutenir, toutes les informations sont disponibles ici : http://metal.nightfall.fr/index.php?choix=4

Bonjour et pardon pour le retard de cette réponse.
Pour commencer.

Alors VEKTOR.
Quand le premier album est sorti et que MEFISTO y était allé de son 5/5, j'avais trouvé cela exagéré. J'avais trouvé l'album en question intéressant, non dénué de qualités mais c'était pas trop ma came. Hormis CORONER et MEKONG DELTA, faut dire que le "Techno Thrash" ne correspond pas à ce que j'attends du genre. J'ai de tout temps toujours préféré le Thrash à la SLAYER, ANTHRAX ou encore DEATH ANGEL à celui d'un VOIVOD ou d'un WATCHTOWER (ce sont des exemples). Donc on va dire que j'étais pas "câblé" pour aimer immodérément le Thrash même si "Black Future" n'en était pas pour autant un mauvais album (un gros 3/5 en ce qui me concerne) qui pèche essentiellement pour moi par son gout du trop (trop technique, trop long, trop peu mélodieux). L'album suivant m'a ennuyé et je n'ai pas (encore) écouté le petit dernier.

Voilà.
En espérant avoir répondu à ta question,
Au plaisir.

Coin Coin

Il te suffit de poster dans les commentaires LR tes avis sur le concert si l'un d'entre nous a proposé un écrit ! Pour le reste, c'est une autre histoire car le site n'est pas une communauté d'auteurs comme certains confrères !

Hell'o

Bien sur, Fenryl est dessus et le premier jour ne devrait pas tarder à venir poindre le bout de sa plume.

Bien à toi,
W.

Publié ce jour ! Fais-toi plaisir.

Salut BELINGO,

En interne, on en discute, et on se dit oui ou non. Disons que tu as bien saisi le principe : chroniques trop courtes ou d'un ex-chroniqueur n'ayant que peu participé au site et/ou discographies trop morcelées qui nécessitent plus de cohérence.

Le terme de "réécriture" est par ailleurs devenu un peu trompeur car les anciennes kro sont tout de même gardées en tant que kro express.

A bientôt,
Volthord

Il y a eu quelques 5/5 en sélection cette année. Mais un 5/5, ça se mérite et s'il n'y en a pas plus, c'est peut-être tout simplement qu'il n'y a pas eu des masses d'albums le méritant ?

Hell'o Hellso,

Ah ben vois-tu, l'un de mes "Meilleurs albums de son genre", voire "Album de (son) année" va bientôt débarquer (j'en termine la rédaction) avec son petit 5/5 qui lui sied si bien. Reste à savoir si le genre te plaira. Non, non, ce n'est pas extrême !!

A bientôt,
W.

Hell'o

S'il ne devait en rester qu'un j'opterais sans sourciller pour le Funeral-Doom tant la formule, lorsqu'elle est travaillée jusqu'au boutisme peu devenir incroyablement hermétique. C'est tellement profond, écrasant et codé, que s'émanciper nécessite de sacrées burnes, mais pour des résultats parfois grandioses.

Même le Black le plus 'trve', le Death le plus 'brewtal' ou le Heavy le plus 'old-skull' offrent à mon avis plus de facilités d'accès, tant musicalement que stylistiquement parlant.

Bien sur, c'est une opinion qui n'engage que moi.

A bientôt
W.

Le suffixe "-core" dans Metalcore, Deathcore, Grindcore, Doomcore (nom moins utilisé du Sludge), etc, souligne une affiliation au Punk Hardcore où à l'un de ses dérivés (le Crust par exemple pour le Grindcore).

Les genres en -core sont donc des hybrides entre Metal et Punk. Il est assez bien vu chez les trve de les rejeter en bloc comme le Néo Metal le fut en son temps (genre toujours quasiment absent d'EM).

Combien que je déteste ce mot, je trouve cela assez ironique pour des intégristes de se comporter à ce point en "poser". En effet le Crossover Thrashcore n'a jamais à subir cette ségrégation visant à garder le genre Metal "pur" ce qui est une absurdité sans nom tant le Metal regorge d'influences diverses le punk n'étant pas la moindre. Il s'agit là d'une simple affaire de préférences - je n'écoute qu'une poignée de disques de Metalcore ou de Deathcore mais cette attitude

Il me parait plus pertinent pour moi de considérer tous ces genres pour ce qu'ils sont : des hybrides, et de les classer à la fois dans la sphère "Metal" et dans la sphère "Hardcore".

D'autant plus que le Metalcore Mélodique c'est essentiellement du pompage de "Slaughter Of The Soul" et que dans les groupes majeurs du Grindcore figurent CARCASS et NAPALM DEATH, deux groupes ayant sortis des albums purement Death Metal dans le carrière (arrivé à ce moment là si ton interlocuteur t'affirme que CARCASS et NAPALM DEATH ne sont pas du Metal, tu as le droit de lui rire au nez et de t'en aller).

Concernant LDOM, le groupe varie entre Goregrind et Noisegrind suivant les albums.

Le Noisegrind (Noise + Grindcore) possède une teneur en métaux lourd assez faible : c'est basiquement un blast de cinq secondes sur de la distortion.

Le Goregrind par contre est considéré comme descendant des premiers albums de CARCASS et malgré mon engouement assez modeste pour "Reek Of Putrefaction" ou "Symphonies Of Sickness", il me paraît difficile d'affirmer que ces albums ne sont pas des métaux.

LDOM est donc au moins un peu metal. Après bon savoir à quel point je ne suis pas sur que ce soit si important.

Ta question sur l'Indus est assez perturbante. Tu fais logiquement référence au Rock ou au Metal industriel, hors ces genres-là sont déjà le fruit d'une hybridation entre la musique industrielle (COIL, EINSTÜRZENDE NEUBAUTEN, THROBBING GRISTLE, NURSE WITH WOUND) et des genres du Rock ou du Metal. Par conséquent les "riffs indus" sont plutôt liés au genre de Metal introduits dans la recette même si la recette finale est souvent plus minimaliste et répétitive.

La musique industrielle "originelle", est un style expérimental proche du bruitisme, de la musique concrète et de la noise et l'on n'y rencontrera que très rarement de riffs Rock, Punk, Metal, ou n'importe quoi d'autre.

Quant à la politique d'Encyclopedia Metallum - qui est par ailleurs une source d'informations quasi inépuisable dont je me sers très souvent - je me contenterais de souligner que sa base de données rejette CONVERGE, mais accepte ELEND ou MORTIIS. Plutôt que de m'échauffer et d'écrire des mots que je pourrais regretter, je te laisse deviner ce que j'en pense.

Voilà, j'espère avoir répondu à tes questions avec ce petit pavé, bonne journée/soirée/nuit/matinée à toi.

Pour ajouter quelque chose à l'explication de Positron, rappelons que le "Hardcore" vient originellement d'un noyau dur (d'où le nom) de Punks déçus par l'éclosion d'un Punk plus médiatique et commercial. Le Hardcore a dont plus à voir avec le Punk que le Metal. Et du point de vue de l'idéologie c'est une musique de la rue (le NYHC surtout) qui aime les codes du Rap : la famille, les amis, le respect, se battre contre le racisme etc).

Je me permettrai d'ajouter la remarque suivante : le terme "Hardcore" se retrouve aussi dans la musique techno pour parler des musiques les plus dures, violentes et rapides, qui ont émergé durant les 90's, accompagnant les grosses rave-party ou les free-party clandestines, popularisé par les compilations "Thunderdome" et des DJs comme LENNY DEE, THE HORRORIST ou LIZA N'ELIAZ, explorant tous les domaines de l'extrémisme et accompagnant les bonnes défonces. La France a eu (et a toujours) son lot de grand artistes : LAURENT HÔ, MANU LE MALIN et surtout MICROPOINT (grands ambassadeurs de la basse qui écrase tout).
On parle notamment Gabber, Darkcore ou Speedcore.