Apres Altars of madness et Blessed are the sick (Abomination of desolation n'est pas un album) et le départ de Richard Brunelle, Trey Azagthoth en pleine inspiration continue sa quête à l'excellence, à la suprématie, au perfectionnement de son art dévoué au death metal.
Dans Covenant ce dernier assure toutes les guitares avec brio, Pete Sandoval détone un max derriere les fûts, David Vincent toujours aussi charismatique nous assène des vocaux de plus en plus puissants et rauques à l'exception de la nouvelle version "angel of disease" plus thrash mais de qualité.
Les compositions particulièrement soignées avec une instrumentale sombre au synthétiseur: Nar Mattaru.
J'ai personnellement découvert ce groupe avec cet album qui reste mon préfèré.