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JULIEN - 1997
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EMPEROR - Anthems To The Welkin At Dusk |
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Ceux qui doutaient de la vitalité du groupe après une longue période d’absence due à des démêlés judiciaires en seront pour leurs frais : EMPEROR est intouchable. Ce monument de Black violent et orchestral, d’une richesse exceptionnelle, en est la preuve. | |
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BRUCE DICKINSON - Accident Of Birth |
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Adrian Smith s’associe au duo Bruce Dickinson/Roy Z pour nous pondre l’album de Heavy classique quasi maidenien que tout le monde attendait de la vierge de fer, en lieu et place de « The X Factor ». Peu de déchet sur cet album excellent ! | |
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DARK TRANQUILLITY - The Mind’s I |
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Pour moi, les maîtres à penser du Death mélodique : Ca cartonne et pourtant la classe est toujours au rendez-vous, avec ces mélodies subtiles et ces guitares sensationnelles. De la brutalité hautement stylisée, et très peu de claviers ! | |
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DIABOLICAL MASQUERADE - The Phantom Lodge |
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Moins purement Black que son prédécesseur, “The Phantom Lodge” affirme la personnalité unique de Blackheim et nimbe son Heavy Black symphonique d’une aura tantôt mystérieuse, tantôt médiévale. Un album généreux, très varié dans ses ambiances. Excellent ! | |
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GAMMA RAY - Somewhere Out In Space |
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On reconnaît immédiatement ce Speed mélodique positif, qui revêt ici une certaine dimension spatiale. Du très bon boulot et des titres imparables comme le happy « Beyond The Black Hole », « Valley Of The Kings », le morceau titre ou la pièce épique “Shine On”, entre autres. | |
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IN FLAMES - Whoracle |
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Nettement plus musclé que le fin « The Jester Race », IN FLAMES dépose un style Death mélodique qu’il adoptera pour quelques années, à base de rythmiques puissantes, de chorus de guitares chantants, d’acoustique apaisant et de vocaux (encore) enragés. | |
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MACHINE HEAD - The More Things Change |
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Trois ans après la déflagration “Burn My Eyes”, MACHINE HEAD assied son Thrash/Power en jouant la carte d’une lourdeur plus affirmée… avec toujours cet environnement sonore en proie à une violence urbaine sourde, empreinte d’une épaisseur malsaine. | |
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MISANTHROPE - Visionnaire |
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« 1666… Théâtre Bizarre » devait être l’épitaphe du groupe. Heureusement qu’il changea d’avis : il put ainsi nous gratifier d’un album magique de Death orchestral et mélodique à nul autre pareil, où les blasts fricotent avec les pianos Jazz et une basse monumentale. Génial ! | |
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RAMMSTEIN - Sehnsucht |
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Plus mélodique que son prédécesseur, « Sehnsucht » célèbre l’alliance de rythmiques martiales et d’arrangements technoïdes, pour un Metal délibérément accrocheur et attractif surplombé d’un chant en allemand un poil apaisé. « Du… Du hast » ! | |
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SAVATAGE - The Wake Of Magellan |
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Les maîtres du Heavy classieux nous reviennent après l’acclamé “Dead Winter Dead” avec un nouvel album concept. Et c’est une nouvelle réussite de Heavy solide, léché, avec solos pleins de feeling, arrangements de toute beauté et toujours ce travail unique sur les voix. J’adore ! | |
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SEPTIC FLESH - Ophidian Wheel |
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Troisième album et troisième merveille pour ce groupe grec. Son Death s’aventure dans les eaux chatoyantes du gothique, s’anime d’un léger caractère médiéval, et ouvre des portes sur un monde onirique captivant. La cantatrice Natalie Rassoulis fait ici sa brillante apparition. | |
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SIGH - Hail Horror Hail |
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Ces japonais cinglés conservent leur Black dichotomique (Riffs crus/orchestrations somptueuses), mais le gavent ici de bidouillages bizarres, arrangements dignes d’une BO, solos de guitares 70’s, riffs Celtic Frostiens et voix de goule sarcastique. Unique et franchement réjouissant ! | |
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STRATOVARIUS - Visions |
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Le seul album du groupe que j’aime vraiment. Le jeu parfois caricatural du duo guitare/clavier n’y prend pas le pas sur la qualité des compositions, petites pépites de Speed mélodique bien léché. Beaucoup de classiques ici, très peu de titres dispensables, et une vraie ambiance. | |
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SYMPHONY X - The Divine Wings Of Tragedy |
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Un Prog qui n’a rien avoir avec celui de DREAM THEATER, les ambiances et la musique s’attachant davantage à la mythologie et aux histoires fantasmatiques. Un groupe brillant, des compositions magnifiquement équilibrées entre mélodie et puissance… rien à redire ! | |
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ARCTURUS - La Masquerade Infernale |
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Métamorphose ! Le groupe de Black symphonique à l’inspiration céleste s’est transformé en un ovni de Metal expérimental, où le Black n’est plus qu’une maigre donnée captive d’un foisonnement de sons irréels, capiteux et immensément sombres. Inclassable et génial ! | |
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BLOODTHORN - Under The Shadow Of Your Black Wings |
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Un nouveau venu norvégien qui s’impose d’office avec un Black atmosphérique hypnotique et délicieusement sombre, nimbé d’une aura Dark Fantasy appréciable. Une production excellente et des musiciens compétents parachèvent cette œuvre originale et envoûtante. | |
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CHILDREN OF BODOM - Something Wild |
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Quelle claque : Une association fraîche et inédite de Speed Metal mélodique pour la musique (avec claviers, clavecins…) et de rage Black pour le chant, avec un leader (Alexi Laiho) s’imposant comme un digne successeur de Malmsteen. Une carte de visite très excitante ! | |
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DIMMU BORGIR - Enthrone Darkness Triumphant |
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Le groupe mélancolique et purement atmosphérique des débuts se dope aux riffs Heavy/Thrash, astique sa production et nous sort le grand jeu d’un Black symphonique plus direct et agressif, mais également plus emphatique et commercial. | |
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HAMMERFALL - Glory To The Brave |
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MANOWAR sonnait la charge avec son retour en 1996, cette formation suédoise serait le soldat se positionnant en tête de la vague dite « True metal ». Un album brut de décoffrage et peu clinquant. Le parfum rustique des 80’s, avec les arguments costauds des 90’s. | |
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JUDAS PRIEST - Jugulator |
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Premier album post Halford, avec la jeune recrue Tim Owens. Oubliez « British Steel », « Painkiller », l’équilibre puissance/mélodie et les twin solos : En 1997, JUDAS PRIEST sonne davantage comme MACHINE HEAD ! Un album surprenant, particulièrement baston ! | |
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NIGHTWISH - Angels Fall First |
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Plutôt calme, habité d’une légère humeur Folk, ce premier disque est encore assez loin du Speed qui prévaudra ensuite, mais propose déjà quelques titres incontournables. Fraîche, simple et touchante, une œuvre délicieusement naïve, qui possède un vrai charme. | |
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PARADISE LOST - One Second |
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Evolution pour les uns, trahison pour les autres, les anglais lâchaient le Metal gothique qui les rendit célèbres et nous livraient un disque étonnant de Pop-Metal expérimental aux chansons soignées, généreusement agrémentées de claviers et samples. Un nouveau départ ! | |
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RHAPSODY - Legendary Tales |
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On croyait avoir atteint des sommets dans le mélange Metal/Classique avec MALMSTEEN puis les géniaux SAVATAGE et ANGRA, RHAPSODY va plus loin et invente le Hollywood Metal : Speed, pompeux, épique, théâtral (parfois jusqu’au comique ici)… Une découverte ! | |
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SLIPKNOT - Mate Feed Kill Repeat |
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Méconnu, ce premier album de SLIPKNOT présentait un Death expérimental fort singulier, touchant au Doom comme au Funk et au Reggae (si si ! je vous promets !). De quoi oublier que ce groupe se hisserait ensuite dans le peloton de tête du cortège Néo. | |
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STRAPPING YOUNG LAD - City |
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Le piteux premier album du groupe ne laissait en rien présumer une telle claque : Sorte de Thrash/Death expérimental aux teintes Cyber, possédée d’une rage sans limite, cette oeuvre repousse les limites de l’agression auditive, tout en instaurant des instants de grâce inouïs. Quel talent, Mr Townsend ! | |
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DREAM THEATER - Falling Into Infinity |
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“Falling Into Mediocrity” ? A la botte de sa maison de disque, DREAM THEATER nous livre un album mou et commercial, sauvé par quelques titres lui restituant un peu de dignité. Le groupe retint la leçon, surmonta la crise (le split n’était pas loin) et s’autonomisa intelligemment. Saine réaction ! | |
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IMMORTAL - Blizzard Beasts |
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Avec sa brutalité Black mariée à une intensité Death à la MORBID ANGEL, le dernier album avec Demonaz à la guitare devait être un chef d’œuvre d’extrême sans compromis. Une production miteuse autant que fluctuante en décida autrement. Sacrilège ! | |
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MEGADETH - Cryptic Writings |
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Album patchwork alternant titres quasi pop (« Almost Honest », « I’ll Get Even »...), quelques morceaux Thrash (“The Disintegrators”, “FFF”, “Vortex”), et Heavy plus traditionnel (“Trust”, “A Secret Place”)... pas mal, mais on sent Mustaine hésitant et cherchant à ménager le chou et la chèvre… « Risk » précisera les choses, snif ! | |
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METALLICA - Reload |
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J’adore « Load », pas « Reload ». Exceptés surtout « Fuel », « Prince Charming » et « Low Man’s Lyrics », le manque de charme du disque et le peu de compos vraiment éclatantes (même si j’en apprécie un certain nombre) me pèsent. Le début de la fin à mon sens… | |
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